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Menhir ar Peulvan
Vente Menhir ar Peulvan miniature (Bretagne) - Achats de...
Catégorie : Accueil > Phares de France > Monuments
Référence produit : mer977
Prix : 5,19
Etat : Neuf

mer977

Menhir ar Peulvan

Le Menhir aussi traduit par Pierre dressée ou Pierre debout. Le plus grand rassemblement de menhirs au monde se trouve à Carnac (Morbihan - Bretagne)

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Collection: Monuments de Bretagne

Menhir ar Peulvan


 

Matière: Résine
Taille: H. 10.5 x 5 x 5 cm

Formidablement bien réalisé, la matière ressemble vraiment à du granit. Superbe !!!

 

Un menhir est une pierre dressée, plantée verticalement. Il constitue l'une des formes caractéristiques du mégalithisme.

Les menhirs se rencontrent de façon générale un peu partout en Afrique, Asie et Europe, mais c'est en Europe de l'Ouest qu'ils sont le plus répandus. Dans cette région, ils ont été érigés au Néolithique.

Le terme « menhir » est construit à partir du breton maen, « pierre », et hir, « longue ». Il semble que ce soit Théophile-Malo de La Tour d'Auvergne-Corret qui, le premier, officialise le terme « menhir », dans son ouvrage Origines gauloises. Celles des plus anciens peuples de l'Europe puisées dans leur vraie source ou recherche sur la langue, l'origine et les antiquités des Celto-bretons de l'Armorique, pour servir à l'histoire ancienne et moderne de ce peuple et à celle des Français, publié entre 1792 et 1796. Cette appellation « menhir » est vite relayée par l'historien Pierre Jean-Baptiste Legrand d'Aussy (1737-1800). Le 7 ventôse de l'an VII (25 février 1799), Legrand d'Aussy fait, à l'Institut, une lecture de son ouvrage, Des Sépultures nationales, publié par la suite en 1824, dont voici un extrait (en respectant la graphie des termes) :

  • « On m'a dit qu'en bas-breton ces obélisques bruts s'appellent ar-men-ir. J'adopte d'autant plus volontiers cette expression, qu'avec l'avantage de m'épargner des périphrases, elle m'offre encore celui d'appartenir à la France, et de présenter à l'esprit un sens précis et un mot dont la prononciation n'est pas trop désagréable. La nécessité où s'est vue la nation bretonne d'imaginer une expression pour désigner cette sorte de monument, semble annoncer qu'elle en avait chez elle une très grande quantité. [...]

Ar-men-ir, littéralement la pierre longue. Ar, dans la langue bretonne, de même qu' al dans la langue arabe, est l'article défini qui répond à notre le, la; le transporter dans notre langue en y joignant le nôtre, serait une faute, parce que ce serait employer deux articles au lieu d'un. Je dirai donc menir, et non l'almenir; de même qu'on dit le Koran, et non l'alkoran. »

En breton, maen est un substantif et hir un adjectif. En faisant un seul mot des deux, Legrand d'Aussy crée un mot aussi étrange pour le breton que s'il avait créé en français le mot « pierrelongue ». Le terme le plus utilisé en breton au XIXe siècle serait peulven ou peulvan (littéralement, « pieu de pierre »). Toutefois, le mot menhir est à l'époque déjà attesté dans certains noms de lieux de Bretagne, comme Prajou-Menhir à Trébeurden (qui n'est pas un menhir mais un dolmen). En Loire-Atlantique, vers la région de Guérande où le breton était usité jusqu'à récemment[Quand ?], le terme était bien menhir[Informations douteuses]. Il semble que ce terme viendrait du breton de la Loire-Atlantique, le breton le plus accessible, le plus proche, pour les scientifiques venant de Paris ou d'Europe, en général.[réf. nécessaire]

Dans les autres régions de France, avant la diffusion du terme « menhir », on utilise des locutions comme « pierre fichée », « pierre plantée », « pierre levée », « pierre longue » ou leur équivalent en langue régionale, lesquels sont souvent présents dans la toponymie sur les cadastres (« Pierrefiche », « Pierrefitte », etc.).

En gallois, les pierres dressées de la sorte sont décrites comme maen hir, « pierre longue ».

Source: wikipedia